SONABEL : Bientôt 50 Mégawatts de plus dans le circuit de distribution
Le Premier ministre, Christophe Dabiré, en compagnie du ministre de l’Energie, Dr Bachir Ouédraogo, a visité le chantier de construction de la centrale thermique de l’entreprise AGGREKO sur le site de la nationale de l’électricité, SONABEL Gounghin. C’était dans la matinée de ce vendredi 3 mai 2019. La demande énergétique est forte en période de chaleur. Pour répondre à ce besoin pressant, l’Etat a initié un projet de construction d’une centrale thermique de 50 Mw avec l’entreprise AGGREKO (société britannique spécialisée dans la location de groupes électrogènes).
D’un coût de 50 milliards de francs CFA, les travaux sur le chantier de cette centrale ont débuté le 22 janvier 2019. Et la mise en marche de la première phase est prévue pour le 15 mai 2019.
Pour le ministre de l’Energie, Dr Bachir Ouédraogo, il était nécessaire pour faire face à la canicule d’entrer dans un mix énergétique qui permettra d’équilibrer l’offre et la demande. « C’est ce qui nous a amené à contracter ce projet avec l’entreprise AGGREKO pour ajouter une puissance de 50 Mw au niveau de Ouagadougou », a-t-il souligné. Selon lui, la mise en service de cette centrale a un avantage car elle permet de répondre rapidement à la demande. « Je suis fière de voir que le travail a beaucoup avancé », a confié le Premier ministre après la visite guidée du chantier. Pour lui, il est vrai que la mise en réseau était attendue fin avril, mais pour des raisons de démarrage tardif du chantier, c’est finalement le 15 mai 2019 soit dans quelques jours que la phase une de la centrale entrera en action. Cela pour renforcer le dispositif mis en place par la Société nationale burkinabè d’électricité (SONABEL).
« C’est une solution qui vient renforcer les options que nous avons eu à prendre avec le Président du Faso, à savoir faire en sorte qu’en plus des interconnexions que nous sommes en train de réaliser (interconnexion avec la Cote d’ivoire et le Ghana), nous puissions renforcer notre sécurité énergétique », a-t-il laissé entendre.
Il a remercié l’entreprise AGGREKO pour le travail déjà abattu et surtout pour l’utilisation des ressources humaines nationales parce qu’il y a beaucoup de compétences nationales qui contribuent à la réalisation de ce projet. Ce qui à son avis prouve que nous avons des ressources humaines de très bonne qualité et il faut continuer leur formation afin que la relève soit assurée.
Marcus Kouaman (kmagju@gmail.com)
Lefaso.net
D’un coût de 50 milliards de francs CFA, les travaux sur le chantier de cette centrale ont débuté le 22 janvier 2019. Et la mise en marche de la première phase est prévue pour le 15 mai 2019.
Pour le ministre de l’Energie, Dr Bachir Ouédraogo, il était nécessaire pour faire face à la canicule d’entrer dans un mix énergétique qui permettra d’équilibrer l’offre et la demande. « C’est ce qui nous a amené à contracter ce projet avec l’entreprise AGGREKO pour ajouter une puissance de 50 Mw au niveau de Ouagadougou », a-t-il souligné. Selon lui, la mise en service de cette centrale a un avantage car elle permet de répondre rapidement à la demande. « Je suis fière de voir que le travail a beaucoup avancé », a confié le Premier ministre après la visite guidée du chantier. Pour lui, il est vrai que la mise en réseau était attendue fin avril, mais pour des raisons de démarrage tardif du chantier, c’est finalement le 15 mai 2019 soit dans quelques jours que la phase une de la centrale entrera en action. Cela pour renforcer le dispositif mis en place par la Société nationale burkinabè d’électricité (SONABEL).
« C’est une solution qui vient renforcer les options que nous avons eu à prendre avec le Président du Faso, à savoir faire en sorte qu’en plus des interconnexions que nous sommes en train de réaliser (interconnexion avec la Cote d’ivoire et le Ghana), nous puissions renforcer notre sécurité énergétique », a-t-il laissé entendre.
Il a remercié l’entreprise AGGREKO pour le travail déjà abattu et surtout pour l’utilisation des ressources humaines nationales parce qu’il y a beaucoup de compétences nationales qui contribuent à la réalisation de ce projet. Ce qui à son avis prouve que nous avons des ressources humaines de très bonne qualité et il faut continuer leur formation afin que la relève soit assurée.
Marcus Kouaman (kmagju@gmail.com)
Lefaso.net
Crédit photos : Primature
